Dans un entretien accordé au Monde et à paraitre aujourd’hui, le leader d’Europe Ecologie s’est lancé dans une diatribe contre le chef de l’état…
Si les verts ont souvent reprochés à Daniel Cohn-Bendit son ouverture, il n’en reste pas moins qu’il a toujours été assez critique envers Nicolas Sarkozy, condamnant son coté berlusconien et le degré zéro de la politique qui s’en dégage.
Dans le quotidien disponible cet après-midi en kiosque et sur le net pour les abonnés du Monde, Cohn-Bendit donne son point de vue sur la politique sécuritaire du président, la qualifiant de « stupidité et malveillance (…) les deux nouvelles mamelles du sarkozysme »; il y dénonce dans l’entretien un populisme de l’exclusion.
Morceaux choisis :
«Oui, la question de l’échec de l’intégration doit être abordée». «Mais il faut remettre les choses dans l’ordre: c’est la désintégration de la société qui crée les problèmes d’intégration, et non la criminalité extrême».
«Cette politique est aussi malveillante. Parce qu’elle produit en permanence de l’exclusion. C’est un populisme de l’exclusion pour rassembler la droite dure, la France profonde, sur le dos des minorités».
«Si je suis poli, je dis que Nicolas Sarkozy prend les Français pour des imbéciles. Le fond de ma pensée est qu’il les prend pour des cons».
Source : AFP
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Sarko prépare 2012 (pas la fin du monde hein !)
extrait d’un excellent article sur le sujet :
« le président de la république est de facto engagé dans une sorte de primaire avec Marine LePen. Avec l’énergie qui lui est coutumière, il s’emploie à dégonfler tout ce qui vient donner de l’air au FN »
(nouvel obs.)
@dtc +1
l’analyse est bonne, il essaie de prendre les voix du fn, mais bon les electeurs du fn se sont fait baiser une fois, pas deux.
après pour cohn benditt, je le porte pas dans mon coeur, leader de mai 68 (mouvements de petits richards en mal de reconnaissance et qui a fait bcp de mal aux valeurs de la france), il est surtout dans la mediatisation
il veut quoi le cohen la…
Woerth a réussi son départ en vacances
depuis la seconde guerre mondiale un seul président de gauche (Miterrand) et on est pas près d’en revoir un autre si les français se laissent toujours berner par ces pseudos dictateurs et leurs banquiers…