La lectrice française était accusée d’espionnage par les autorités iraniennes…
Le retour en France de Clotilde Reiss, universitaire française en poste en Iran, après dix mois de prison et d’assignation à résidence au terme d’un procès très médiatique, a immédiatement fait place à la controverse. Est-elle une espionne au service d’une diplomatie barbouzarde ? Un échange acrobatique s’engage entre deux hommes de l’art, où la vérité apparaît un peu plus complexe.
Pierre Siramy, agent des services secrets français à la retraite, a lancé un pavé dans la mare, en affirmant dans les médias que la jeune lectrice était en réalité en lien étroit avec nos services de renseignement au cours de son séjour en Iran, mais Jean-Dominique Merchet, qui traite les questions de défense nationale chez Libération, n’en démordra pas : Clotilde Reiss n’est pas une espionne.
Finalement, rien ne nous dit que pendant un lointain voyage à l’étranger, nous ne pourrions pas, nous aussi, devoir prêter main-forte aux services secrets !
Purée alors les femmes ne sont pas toutes des anges…zut, j’étais déçu de savoir qu’une femme pouvait être une salope comme Zahia, et la je vois qu’une femme peut-être une saleté d’espionne…
aahahaha!!shneidermann à 2:26; »on a compris…on a compris..ouais ouais …ouais ouais »!!il m’a tué le bougre!!
en meme temps espionner contre l’iran, une des + dangereuse dictature actuelle, ca merite au moins la legion d’honneur !