Le départ a été donné samedi pour les hommes et leurs chiens
Anchorage, en Alaska, est la ville de départ pour 1.100 miles de course, l’une des plus éprouvantes et les plus connues en traîneau à chiens. Un coup de départ est donné en grande pompe samedi pour la 38ème édition sur la 4ème Avenue. Les concurrents se sont élancés à travers les paysages du grand nord américain.
Les « mushers » ont pour la première fois été testés en ce qui concerne le taux d’alcoolémie et de médicaments présent dans leur sang. Ce sont 71 équipages, avec 12 chiens chacun, qui vont parcourir 1.757 Km pour des sommes allant jusqu’à 50.000 dollars, l’ensemble de la dotation étant de 590.000 dollars, près de deux fois moins que l’an dernier… C’est la crise.
Le vainqueur de la précédente édition, Lance Mackey, tente de rééditer à 39 ans l’exploit des quatre dernières années. Il est cependant pris à forte partie, car nombreux sont les concurrents résolus à lui disputer la place du favori. Un étudiant belge de 25 ans, Sam Deltour, a relevé le défi afin de sensibiliser le public à la question de la sclérose en plaques.
La course est née après un drame survenu en 1925, quand une épidémie de diphtérie a frappé la ville de Nome. De dures conditions climatiques empêchant tout envoi de médicaments par avion ou par bateau, ce sont les chiens de traîneau qui les ont transportés à bon port. Le dernier « musher » du relais s’appelait Gunnar Kaasen et le « leader » des chiens Balto.
Deux statues ont été réalisée en son hommage, l’une à côté du zoo de Central Park, à New York, et l’autre à Anchorage, dans le centre-ville.
merci beaucoup pour cette info 😉
« La course est née après un drame survenu en 1925, quand une épidémie de diphtérie a frappé la ville de Nome. De dures conditions climatiques empêchant tout envoi de médicaments par avion ou par bateau, ce sont les chiens de traîneau qui les ont transportés à bon port. Le dernier “musher” du relais s’appelait Gunnar Kaasen et le “leader” des chiens Balto. »
—
Le scénario de Balto, superbe dessin animé =D ! Enfin … J’ai kiffé quand j’étais petit mais maintenant, je sais pas ce que ça va donner.