Mais surtout avec la complicité du Washington Post…
Pendant des mois, Corey Newman, 28 ans, s’est, pour conquérir l’élue de son cœur, évertué à plancher sur une proposition de mariage qui sortirait des sentiers battus. C’est en regardant sa moitié, Marlowe Epstein, immergée comme à l’accoutumé dans ses mots-croisés, que l’idée lui est venue de masquer sa demande dans une grille de mots-croisés.
Corey a donc pris contact avec le responsable de la rubrique des mots-croisés du Washington Post afin de lui soumettre son plan et s’il était possible de le réaliser. Bob K., le responsable de la rubrique en question, a répondu par l’affirmative, estimant que l’idée était bonne, bien qu’elle lui ait déjà était soumise 13 ans auparavant, a-t-il confié à notre amoureux.
Après plusieurs jours (le temps pour Bob Klahn de créer le puzzle), Corey s’est emparé un samedi matin de l’édition du dimanche du Washington Post, édition dans laquelle apparaissait la fameuse grille dédiée à sa promise. A son réveil, Marlowe Epstein est attendue par une tasse de café, tandis que son compagnon, installé dans le canapé, se dit coincé devant la difficulté desdits mots-croisés, tentative malicieuse afin qu’elle l’assiste.
La grille sous les yeux, Marlowe relève très facilement la difficulté toute relative faussement imputée par son compagnon, et constate à l’horizontal 39 (Casablanca’ screenwriter Julius or Philip) que la réponse est Epstein.
À l’horizontal 37 est demandé un personnage du long-métrage ‘Shakespeare in Love’, dont la réponse est Marlowe.
À ce moment-là, elle se demande si elle n’est pas en train de perdre la tête. C’est arrivée à l’horizontal 51 que Marlowe commence à se poser des questions, avec l’indice suivant : « Words with a certain ring to them ». “Will you marry me », suggère-t-elle à haute voix en se tournant vers Corey, mais ne se doutant toujours pas que tout était parfaitement orchestré jusqu’au moment où elle s’est aperçue que Corey avait un genou au sol, tout en lui présentant une bague ornée d’un diamant, et ponctuant son geste par “Marlowe, will you marry me?”.
C’est émue et surtout très surprise que Marlowe a répondu oui à la proposition. Le couple s’est depuis confié en long et en large dans les tribunes du Washington Post.
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Note : Aiken, dans la grille de mots-croisés, n’est autre que la ville natale de Marlowe Epstein.
Source : Washington Post
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Original, et pour une fois que ca se passe pas sous l’œil des caméras..
Magnifique !
c’est mignooonn!
Il la demande en mariage eut été plus juste….
style
C’est beau.
Et si elle n’aurais pas trouvé les bons mots ?
Et si elle n’en aurais pas fait ? o_o
Et si tu prenais des cours de langue française ?… SI + ‘rai’ = AÏE !!!!
+1 anonyme xD jai l’oeil droit qui saignait un peu en lisant le post de O_O !
Sinon c’est vraiment cool, mais un non aurait pu lui donner envie de mourir … !
Pas forcément très original…
Pour diriger moi-même, à Paris, une agence spécialisée dans l’organisation de demandes en mariage originales et spectaculaires, je peux vous assurer Les femmes attendent autre chose que quelques cases noircies sur une feuille de papier… Où est la mise en ambiance romantique ? Où est le conte de fée ?
Nicolas