La mode pour les connes 🙂
Encore un bel exemple de crétinerie snobiste pour gazelles fortunées avec des Q.I. d’huitres. Vu dans ELLE, un T-shirt pré-usé et pré-troué de chez Balmain vendu 1624 $ à New York.
Bon j’abandonne là… Ca devient flippant !
PS: je vois plus le bouton « PREVIEW » c’est normal ? impossible de mettre en page le post du coup 🙁
Réponse: merci pour le feedback, on va voir si on peut le remettre 😉
Entre ça et le sablage des jeans neufs, j'espère que les clochards vont pas laisser passer cette aubaine pour faire un peu de blé.
En fait je suis trop fashion avec mes jeans déchirés et mes t-shirts pleins de trou de boulette, moi qui croyais juste que j'étais pauvre
……. Demain je me reconvertit.
Je deviens styliste
vous ne connaissez rien a la mode bande de boloss
Allez donc continué a acheter vos vêtement a Leclerc et arrêtez de critiquer des choses que vous ne connaissez pas
Ah ouai toi tu connais les t-shirts à 1600$ ? Allez va mettre ton RG512 et arrête de planer.
Et juste la fille elle est à combien ?
Plusieurs explications pour ce prix excessif : – Peut être qu'ils sont intelligents ? Ils savent que ce tee-shirt ne marchera pas, alors autant gagner beaucoup de pognons sur un produit acheter par un pigeon ! – Peut être que plusieurs petits chinois sont morts en se faisant trouer en même temps que le tee-shirt ? – Peut être que les trous ont été étudiés à être placés au centième de micron ? – Ou simplement une faute de frappe et de compréhension de la personne s'occupant de l'article, ils voulaient surement faire comprendre que c'est le salaire de cette… Lire la suite »
@beau-nez: -1
je vais trouer mes T-shirt
c'est con !
c'est tout vu à ce prix la fille te suce tout un week end !!!
non vraiment c'est Babylone…
@Moutemoute
Juste ignoble comment tu parles de la fille.
Juste ignoble comment tu prends tout au 1er degré…
pouarf la jeunesse, pas étonnant qu'ils osent fourguer des fringues moisies à ce prix, les gens sont cons dans l'ensemble, autant en profiter…
Quoi,vous ne le savez pas?
C'est a la mode d'etre ghetto