Pour la première fois dans l’Histoire du Tour de France, les coureurs vont rouler sur cette petite route de 26 kilomètres qui va ramener une seconde fois les coureurs au pied de l’Alpe d’Huez, qu’ils vont donc gravir deux fois.
Tony Martin, vainqueur d’étape sur le Tour 2013 explique son inquiétude : “Je dois dire que j’ai été assez désagréablement surpris. La route est mauvaise, il n’y a pas de rail de sécurité. Une faute, et vous vous retrouvez 30 mètres plus bas.”
Mercredi, des élus EELV ont évoqué un “choix irresponsable” d’emprunter le col de Sarenne, une décision qui selon eux va “à l’encontre de la sécurité des coureurs” et “de la protection d’un espace sauvage préservé”.
EELV estime que ce parcours, qui emprunte une descente vertigineuse dans ses premiers virages, revient à “faire d’une route pastorale une autoroute à cyclistes professionnels“.
Le col de Sarenne est un col des Alpes culminant à 1 999 m d’altitude. Il traverse le massif des Grandes Rousses et sépare le Haut-Oisans de l’Alpe d’Huez.
Finalement personne n’est mort. Ce serait presque une déception