Un mauvais début de carrière !
Christian Hernandez est courageux en dépit des apparences. Après s’être réfugié derrière les barrières lors d’une corrida dimanche à Mexico, il est revenu saluer un public encore plus furieux que le taureau devant lequel il a fui. Puis il a déclaré à la presse : « Il y a des choses dont vous devez être conscient à propos de vous, reconnaît le torero de 22 ans. Je n’en ai pas la capacité, je n’ai pas les couilles, ce n’est pas mon truc ».
C’était le rêve de gosse de Christian Hernandez de toréer dans les arènes, et c’est vite devenu un cauchemar à peine arrivé à combler ses aspirations car, après avoir appris depuis l’âge de 10 ans l’art de la muleta, après des premiers pas en tant que novillero en 2006, il parvient enfin pour sa toute première fois dimanche au centre de l’arène, dans le premier rôle et vêtu de l’habit de lumière, mais un mauvais pressentiment l’envahit et il fuit.
De son propre aveu, Christian Hernandez regarde les choses en face pour la première fois dimanche, après avoir été déjà blessé deux fois, et ne voit pas du tout la vie de la même manière. La mort était en face, et non plus la gloire…
ça arrive plus souvent que l’on ne le crois et bon… sans intérêt…
stop a ces trucs de barbare !! on est au 21éme siècle, plus au moyen âge !!
lopette !
corones!
il ya plus de courage et d’intelligence à fuir, bravo.
Pauvre bête, avec un sioniste sa serait mieux !
il a pas de couille ce type en effet !
Quelle lopette déguerpir comme un lapin ! quand on choisi un métier, faut l’assumer jusqu’au bout.
Aimer la corrida, c’est aimer voir le spectacle de la souffrance d’un taureau, en jouir et s’en repaître. C’est prendre du plaisir dans la souffrance et la mort d’un autre être sensible prisonnier et sans la moindre possibilité d’en échapper. Aimer la corrida, c’est aimer le sang, la douleur et la mort. C’est un plaisir sadique, c’est du sadisme.
Cet homme a pris une sage décision qui l'honore. Puisse t il être imité par de nombreux matadors.