À la suite d’une chronique économique portant sur la crise que nous traversons, le journaliste n’a jamais refait surface à l’antenne…
Son nom ne vous dit peut-être rien, mais pourtant celui-ci gagne à être connu, si l’on en juge l’une de ses dernières prestations télévisuelles. En 2011, alors à l’antenne de BFMTV, Philippe Salvador signe une chronique qui n’a pas connu le succès qui lui est dû, laquelle dressait en une rapide conclusion à contre-courant de l’étiquette neo-libérale de la chaîne, un constat alarmant de notre économie prise en tenaille par la spéculation, la dette et le système de planche à billets.
La chronique en question :
Il y a encore dix mois, le journaliste officiait depuis Marseille en tant que correspondant pour la chaîne lors du premier tour des dernières élections présidentielles, image à l’appui :
Depuis, la plage horaire de Economie, la chronique a été remplacée par La chronique éco de Nicolas Doze et Phillippe S. n’a quasiment donné aucun signe d’activité au sein de la chaîne, si l’on s’en réfère aux informations fournies par le site de BFMTV. En effet, exception faite de l’image ci-dessous, il n’est fait mention nulle part d’une quelconque attribution et n’est pas non plus crédité à la rubrique Hors-antenne : ils ont incarné dans le passé l’actualité sur BFMTV.
http://www.bfmfan.com/blog/index.php?image/journalistes/philippe-salvador/caps-00021#c1279
Pourtant, son profil Linkedin (réseau de profils professionnels en ligne, ndlr) ne laisse que peu de place au doute quant à sa présente affectation, à savoir « RMC/BFM Business BFMTV ».
Si cela reste anecdotique, la coïncidence a de quoi laisser songeur.
Télé = vérité ?
Je crois pas.
Donc si tu l’ouvres = au goulag !
Bien vu comme article.
bien vu. bel exemple de mise à l’ecart.
Brillante intervention de ce journaliste. Il devrait quitter le low cost info où il n’est pas utilisé au max de ses compétences.
ha seulement si les petits malin ralentissez dans leur dénis de la réalité pour satisfaire le profit de la rentabilité on n’avancerai moins en marche arrière
« la naïveté me fais envi »
« Un journaliste aujourd’hui, soit il est au chômage soit c’est une pute. »
A.Soral